La parole est donnée aujourd'hui à deux des travailleurs sociaux qui ont écrit le Manifeste du travail social, pour présenter cette initiative ainsi que la façon dont elle s'inscrit dans leurs parcours.
Entre chroniques et interviews, Jonathan Louli explore toutes les implications politiques du travail social pour contribuer à défendre et à valoriser un travail social émancipateur pour les professionnels ainsi que pour les personnes et les classes sociales concernées.
La parole est donnée aujourd'hui à deux des travailleurs sociaux qui ont écrit le Manifeste du travail social, pour présenter cette initiative ainsi que la façon dont elle s'inscrit dans leurs parcours.
Un assistant de service social passé par Nuit Debout présente ses réflexions sur l'engagement et le travail social
Sur certaines thématiques, le travail social peut croiser la route de collectifs militants. Se pose la question de savoir si et comment travailler ensemble. Aujourd’hui, la parole à Arnaud, qui a initié SUD Précaires 76, une des rares organisations syndicales destinées aux précaires.
Pour cet épisode spécial de rentrée des Sons Rouges et Noirs, je propose de préciser la perspective qui anime ma démarche. Celle-ci se réfère à un courant politique plutôt méconnu : le communisme libertaire. Pour ce faire, j'ai été interviewer Guillaume Davranche, militant et travailleur de la presse.
Le travail social est un univers professionnel complexe, et à ce titre il est lui aussi traversé par les réformes du droit du travail défendues par les gouvernements libéraux. Pour cette fin de vacances et à l’occasion des mobilisations contre la « loi travail » de Macron, Sons Rouges et Noirs présente le livre L’institution du travail de Claude Didry. Une version écrite de ce commentaire est disponible à l’adresse suivante : lectures.revues.org/20667